<<timed 6s t8n>>La tour se distord jusque dans le ciel opaque qui l'engloutit. Elle vous semble anormalement grande, effilée à l'extrême. Comme si à force de monter, elle finissait peu à peu par se rabattre au-dessus de vous.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
En face, une batterie de portes automatiques dont les reflets viennent contredire leur apparente transparence. Elles renvoient l’image de l’esplanade ; du béton froid, de la pluie et au milieu, comme dilué dans la trombe, votre reflet trouble, intensément flou, presque absent.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous n’osez bouger, intimidé comme par un monstre par ce bloc parcouru de métal et recouvert de verre. Un monstre bâti et technique, un monolithe gris, tantôt gris bleu, tantôt gris vert.
<<timed 2s t8n>>
[[Cette tour est parfaitement inanimée. Elle est un pure objet et je n’ai rien à craindre. |Questionnement 1]]
[[Je n’ai pas le choix |Intérieur shortcut]]
<</timed>>
<</linkreplace>><</timed>>
<</linkreplace>><</timed>>
<</timed>>
<<audio "aOut" volume 0 fadeoverto 10 0.8>><<timed 0.5s t8n>>Vous vous rassurez, vous vous galvanisez en même temps que la tour se penche, va à votre rencontre. Vous êtes simplement petit, tout petit.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Elle se gonfle de la force dont vous tentez de vous emplir. Elle vous aspire des pieds à la tête, de la peau à la moelle, de vos réceptions sensibles jusqu’à vos pensées enfouies, perdues dans l'abîme neuronale de votre crâne. Elle vous connait.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous avez sans doute raison, cette chose est inanimée, mais vous n’y songez pas. N'imaginez pas choisir de la “désanimer” d’un seul coup de pensées éparses. Les peurs s'assemblent dans vos chairs sans que vous ayez mot à dire et rampent dans la caverne entre vos deux tempes. Elles s’insinuent dans toutes les failles dont vous êtes faits.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous êtes trop faible et pour l’heure, la tour s'anime, sort de ses gonds matériels, existe bien au-delà des fondations bétonnées qu'elle occupe. Tel un arbre, vous sentez ses racines dans le sol profond, vous les imaginez tendues, qui parcourent la ville dans un réseau indescriptiblement complexe, qui dès lors, vous échappe.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous n’avez pas le choix et en y pensant, vous n’y changerez rien.
<<timed 2s t8n>>
[[Je n’ai pas le choix ?|Questionnement 2]]
[[Je n’ai pas le choix.|Intérieur shortcut]]
<</timed>>
<</linkreplace>><</timed>>
<</linkreplace>><</timed>>
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<</timed>><<timed 0.5s t8n>>Comment en êtes-vous arrivé là ? La question un instant vous traverse l’esprit, mais vous n’avez pas le temps de l’attraper. Elle file entre les mailles de votre mémoire.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous tentez de vous remémorer son message, une faille, vous y trouverez une faille, dans la tour. Un point d’accès. Qu’est-ce qui n’allait pas ?
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous étiez sûr de vous.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous étiez sûr de vous ?
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous pourriez bien faire demi-tour, mais l’idée ne vous vient pas, ne remonte pas la chaîne logique de vos pensés. Votre cognition est comme… défaillante.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Des glyphes vous montent à la tête, gigotent dans le magma mental. Des lettres désordonnées affichées sur un écran défilent quelque part dans votre crâne. L’espace physique de votre appartement, une pièce, des câbles qui parcourent les murs et le sol, un écran imitant une fenêtre, “dehors” la jungle, le bruit assourdissant de l’autoroute.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
L’adresse de la tour boucle sans cesse, sans que vous ne puissiez la lire. Vous vous y êtes rendu. Vous y pensez difficilement, n’entrevoyez qu’une suite de faits sans sujet. À quoi pensiez-vous ? Où étiez-vous ?
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous vous êtes réveillé au pied de cet effrayant monolithe qui maintenant vous attire. Malgré cela, vous la sentez encore, la peur qui vous agrippe, vous tire vers l’arrière, de toutes ses forces… mais n'arrive pas à vous retenir.
<<timed 2s t8n>>
[[Entrer dans la tour. |Interieur]]
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<</linkreplace>><</timed>>
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<<timed 0.5s t8n>>Vos jambes se mettent en branle, comme des membres étrangers, vous les sentez se mouvoir, sans tout de suite y être connecté. Elles avancent, et vous avec.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Quelques instants plus tard, vous voilà dans le hall. L’espace est rempli d’un vide pesant, étrange, comme un temple si longtemps à l’écart qu’il se serait autonomisé des Hommes, les aurait rendus exogènes dans son enseinte. Comme un espace dédié lui même, le sujet de sa chose propre et rien d’autre. Comme si l’air et le bâtiment étaient finalement un même bloc, dont vous seriez maintenant le seul grain de matière dissonant.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Au-dessus de vous, se croisent des ensembles de passerelles formant une toile de ponts rectilignes. Vous seriez tenté de vous figurer la complexité de ce réseau, des multiples étages et destinations, mais vous n’y arrivez pas. Les dimensions vous échappent.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous vous sentez paradoxalement apaisé comparé à l’extérieur. Comme si vous aviez assouvi un désir enfoui, comme un appétit repu. Un désir. Pas le vôtre ? L’effet vous semble le même.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Devant vous, parfaitement face à l'entrée, vous remarquez ce qui ressemble à un point d’accueil. De longues structures en bois, hautes jusqu'au buste, qui contrastent avec le béton ciré du sol et les plaques anthracites qui couvrent les murs. Sur la droite et la gauche, une paire d'ascenseurs monte la garde.
<<timed 2s t8n>>
[[Vous vous dirigez vers l'ascenseur de droite.|Vers les ascenseurs]]
[[Vous vous dirigez vers l'ascenseur de gauche.|Vers les ascenseurs]]
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<<audio "aOut" volume 0.8 fadeoverto 16 0>><<audio "aBack" volume 0 fadeoverto 16 0.8>><<audio "aInRain" volume 0 fadeoverto 16 0.8>><<timed 0.5s t8n>><<audio "aInRain" volume 0.8 fadeoverto 10 0>>Vous laissez sur la surface argentée des portes une tâche compacte qui se rapetisse à mesure que vous vous approchez. Sur votre gauche, tout à fait à côté des deux portes, vous remarquez l’écran de contrôle tactile, éteint.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Au toucher, vous distinguez la surface bombée des flèches pour appeler l'ascenseur. Vous appuyez sur le bouton qui s’enfonce de quelques millimètres.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>><<audio "aElevatorFall" volume 0 fadeoverto 10 0.8>>
Vous entendez alors l'ascenseur se mettre en branle dans sa cage, un sifflement presque imperceptible. Le son d’une chute libre lointaine, plusieurs tonnes d’acier glissent dans l’air quelque part au-dessus de vous, derrière ces fines portes d'acier insonorisées.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>><<audio "aElevatorFall" volume 0.8 fadeoverto 8 0.9>>
Vous vous appuyez contre le mur, attendant, et remarquez une légère saillie, un discret emplacement de poignée. Vous la tirez et s'ouvrent devant vous des escaliers, parallèles à l'ascenseur. Vous vous penchez et ne discernez aucun plafond qui pourrait les empêcher de monter à l’infini.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>><<audio "sElevator" play>><<audio "aElevatorFall" volume 0.9 fadeoverto 2 0>>
Dans un bruit mécanique typique, vous devinez l’ouverture de l'ascenseur.
<<timed 2s t8n>>
[[Vous prenez l'ascenseur.|Ascenseur]]
[[Vous prenez l'escalier.|Escalier]]
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<</timed>><<timed 0.5s t8n>>Vous vous êtes réveillé au pied de cet effrayant monolithe qui maintenant vous attire. Malgré cela, vous la sentez encore, la peur qui vous agrippe, vous tire vers l’arrière, de toutes ses forces… mais n'arrive pas à vous retenir.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>><<audio "aOut" volume 0.8 fadeoverto 16 0>><<audio "aBack" volume 0 fadeoverto 16 0.8>><<audio "aInRain" volume 0 fadeoverto 16 0.8>>
Vos jambes se mettent en branle, comme des membres étrangers, vous les sentez se mouvoir, sans tout de suite y être connecté. Elles avancent, et vous avec.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Quelques instants plus tard, vous voilà dans le hall. L’espace est rempli d’un vide pesant, étrange, comme un temple si longtemps à l’écart qu’il se serait autonomisé des Hommes, les aurait rendus exogènes dans son enseinte. Comme un espace dédié lui même, le sujet de sa chose propre et rien d’autre. Comme si l’air et le bâtiment étaient finalement un même bloc, dont vous seriez maintenant le seul grain de matière dissonant.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Au-dessus de vous, se croisent des ensembles de passerelles formant une toile de ponts rectilignes. Vous seriez tenté de vous figurer la complexité de ce réseau, des multiples étages et destinations, mais vous n’y arrivez pas. Les dimensions vous échappent.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous vous sentez paradoxalement apaisé comparé à l’extérieur. Comme si vous aviez assouvi un désir enfoui, comme un appétit repu. Un désir. Pas le vôtre ? L’effet vous semble le même.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Devant vous, parfaitement face à l'entrée, vous remarquez ce qui ressemble à un point d’accueil. De longues structures en bois, hautes jusqu'au buste, qui contrastent avec le béton ciré du sol et les plaques anthracites qui couvrent les murs. Sur la droite et la gauche, une paire d'ascenseurs monte la garde.
<<timed 2s t8n>>
[[Vous vous dirigez vers l'ascenseur de droite.|Vers les ascenseurs]]
[[Vous vous dirigez vers l'ascenseur de gauche.|Vers les ascenseurs]]
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<</linkreplace>><</timed>>
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<</timed>><<timed 0.5s t8n>><<audio "aBack" volume 0.8 fadeoverto 6 0.4>>Donnant une illusion d’espace, des miroirs couvrent la partie supérieure des parois. Sur votre droite, à hauteur des yeux, un zéro bleuté affiché dans le miroir, dans une partie plus opaque et moins réfléchissante.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Juste en dessous s'alignent des chiffres, de 0 à 9.
<<timed 2s t8n>>
<input id="numberbox-etage" name="numberbox-etage" type="number" inputmode="decimal" tabindex="0" class="macro-numberbox" step="1" autofocus="autofocus" onkeypress="return event.charCode >= 48 && event.charCode <= 57"><<button "Valider">>
<<set $etage to $("#numberbox-etage").val()>>
<<if $etage >= 1 && $etage <= 109>>
<<set $etagepres to $etage>>
<<audio "aElevator" volume 0 fadeoverto 10 0.8>>
<<goto "Ascenseur < 110 - 1">>
<</if>>
<<if $etage>109>>
<<set $etagepres to $etage>>
<<audio "aElevator" volume 0 fadeoverto 10 0.8>>
<<goto "Ascenseur > 110 - first">>
<</if>>
<<if $etage==0>>
<<timed 0.2s t8n>><<replace "#output">><<= either(["Vous êtes déjà au 0, l'ascenseur ne bouge pas."])>><</replace>><</timed>>
<<else>>
<<timed 0.2s t8n>><<replace "#output">><<= either(["\"Error\", l'ascenseur ne bouge pas."])>><</replace>><</timed>>
<</if>>
<</button>><p id="output"></p>
[[Changez d'avis et prendre l’escalier.|Escalier]]
<</timed>><</linkreplace>><</timed>><</timed>>
<div class="conditions_as">
[[Ascenseur > 110 - first]]
[[Ascenseur > 110 - second]]
[[Ascenseur < 110 - 1]]
[[Ascenseur < 110 - 2]]
[[Ascenseur < 110 - 3]]
[[Ascenseur < 110 - 4]]
[[Ascenseur = 0]]
</div><<timed 0.5s t8n>>Vous vous engagez dans la cage d’escalier et commencez à monter.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Le temps passe et le même enchaînement se répète. Vous finissez par ne plus compter les étages, par ne plus porter attention aux numéros de paliers qui se succèdent.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
La taille des marches vous est de plus en plus désagréable, trop courte prise une par une, trop longue prise deux par deux.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Ça n’en finit pas et vous commencez à être tenté d’essayer n’importe quelle porte, la première qui passe, de vous jeter sur la prochaine poignée qui croisera votre regard.
<<timed 2s t8n>>
[[Vous sortez ici.|Escalier annexe]]
[[Vous continuez à monter.|Escalier 2]]
<</timed>>
<</linkreplace>><</timed>>
<</linkreplace>><</timed>>
<</linkreplace>><</timed>>
<</timed>>
<<audio "aBack" volume 0.8 fadeoverto 10 0.4>><<audio "aElevator" volume 0 fadeoverto 20 0.8>><<timed 0.5s t8n>><<audio "aElevator" volume 0.8 fadeoverto 10 0.6>>Vous êtes de retour dans le hall, rien ne semble avoir changé.
<<timed 2s t8n>>
<input id="numberbox-etage" name="numberbox-etage" type="number" inputmode="decimal" tabindex="0" class="macro-numberbox" step="1" autofocus="autofocus" onkeypress="return event.charCode >= 48 && event.charCode <= 57"><<button "Valider">>
<<set $etage to $("#numberbox-etage").val()>>
<<if $etage >= 1 && $etage <= 109>>
<<set $etagepres to $etage>>
<<audio "aElevator" volume 0.6 fadeoverto 6 0.8>>
<<goto "Ascenseur < 110 - 4">>
<</if>>
<<if $etage>109>>
<<set $etagepres to $etage>>
<<audio "aElevator" volume 0.6 fadeoverto 6 0.8>>
<<goto "Ascenseur > 110 - first">>
<</if>>
<<if $etage==0>>
<<timed 0.2s t8n>><<replace "#output">><<= either(["Vous êtes déjà au 0, l'ascenseur ne bouge pas."])>><</replace>><</timed>>
<<else>>
<<timed 0.2s t8n>><<replace "#output">><<= either(["\"Error\", l'ascenseur ne bouge pas."])>><</replace>><</timed>>
<</if>>
<</button>><p id="output"></p>
[[Changez d'avis et prendre l’escalier.|Escalier alt]]
<</timed>><</timed>>
<<timed 0.5s t8n>>Les portes se ferment et l'ascenseur se met en branle.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Quand les portes se réouvrent, vous débouchez dans un espace quadrillé de surfaces transparentes derrière lesquelles s'alignent des salles neutres. Plongé dans la demi pénombre, tout vous semble d’un gris mat, uni et sans défaut, comme si l’ensemble des murs et du sol ne disposait d'aucune texture ou propriété particulière ; des blocs de manière neutre et inachevée.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Tout à fait en face de vous, où vous vous attendriez à voir l’extérieur, vous n’observez qu’une surface noire réfléchissante. Les reflets renvoient l’espace creux devant eux et le décuplent, le font encore prendre en volume.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
S’aligne le vide où devrait se tenir la lumière du jour. En y pensant, rien que le ciel gris et pluvieux vous aurait suffit.
<<timed 2s t8n>>
<input id="numberbox-etage" name="numberbox-etage" type="number" inputmode="decimal" tabindex="0" class="macro-numberbox" step="1" autofocus="autofocus" onkeypress="return event.charCode >= 48 && event.charCode <= 57"><<button "Valider">>
<<set $etage to $("#numberbox-etage").val()>>
<<if $etage==0>>
<<set $etagepres to $etage>>
<<goto "Ascenseur = 0">>
<</if>>
<<if $etage >= 1 && $etage <= 109 && $etage!=$etagepres>>
<<set $etagepres to $etage>>
<<goto "Ascenseur < 110 - 2">>
<</if>>
<<if $etage>109>>
<<goto "Ascenseur > 110 - second">>
<</if>>
<<if $etage==$etagepres>>
<<timed 0.2s t8n>><<replace "#output">><<= either(["Vous êtes déjà au $etagepres, l'ascenseur ne bouge pas."])>><</replace>><</timed>>
<<else>>
<<timed 0.2s t8n>><<replace "#output">><<= either(["\"Error\", l'ascenseur ne bouge pas."])>><</replace>><</timed>>
<</if>>
<</button>><p id="output"></p>
<</timed>><</linkreplace>>
<</timed>><</linkreplace>>
<</timed>><</linkreplace>>
<</timed>><</timed>><<timed 0.5s t8n>>Les portes se ferment et l'ascenseur se met en branle. Le 0 se mue en 1, qui lui-même se transforme en 2, qui appelle un 3, puis un 4, puis 5…
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>><<audio "aElevator" volume 0.8 fadeoverto 30 0>>
Vous seriez incapable de dire le temps qui s’écoule, les secondes et les minutes que l’ascenceur laisse sur place, égraine en montant. Vous vous figurez de nouveau le hall, sa hauteur sans fond, l'ascenseur en chute libre vers le sommet.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>><<audio "aBack" volume 0.4 fadeoverto 40 0>><<audio "sEpiphany" volume 0 fadeoverto 40 0.8>>
Vous vous concentrez sur les nombres qui défilent, deux chiffres, puis trois… 110.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous avez appuyé sur le bouton d’arrêt. Vous avez traité l’information avant même de la voir. L’affichage est figé sur 110. Vous vous sentez comme soulagé. Vous ne savez pas pourquoi mais vous êtes au “bon endroit”. Comme si le “bon endroit” était une sensation d’évidence qui parcourait le corps entier. Quelque chose en vous a agi.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Cette fois, vous ne tentez pas de résister, la peur ne joue pas contre le magnétisme d'exercer ce chiffre sur vous.. Vous n’y arriveriez pas. Vous sentez avoir déjà perdu. Pourquoi pas 109 ? Pourquoi pas 111 ? Des questions sans réponses vous trottent un instant dans la tête avant de s'évanouir, d’être chassées de votre esprit.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Est-ce bien vous qui les avez chassé ?
<<timed 2s t8n>>
[[Oui. Vous vous mentez et vous engouffrez entre les portes qui s'ouvrent.|mensonge]]
[[Non…|vérité]]
<</timed>>
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<</linkreplace>><</timed>>
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<</timed>><<timed 0.5s t8n>>Vous ne regardez même pas le numéro de palier et poussez la première porte qui vous vient.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous débouchez dans un espace quadrillé de surfaces transparentes derrière lesquelles s'alignent des salles neutres. Plongé dans la demi pénombre, tout vous semble d’un gris mat, uni et sans défaut, comme si l’ensemble des murs et du sol ne disposait d'aucune texture ou propriété particulière ; des blocs de manière neutre et inachevée.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Tout à fait en face de vous, où vous vous attendriez à voir l’extérieur, vous n’observez qu’une surface noire réfléchissante. Les reflets renvoient l’espace creux devant eux et le décuplent, le font encore prendre en volume.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
S’aligne le vide où devrait se tenir la lumière du jour. En y pensant, rien que le ciel gris et pluvieux vous aurait suffit.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous attendez un peu, mais vos yeux ne s'habituent pas, vos sens entiers ne s'accommodent pas. Du temps figé vous ne trouvez aucun sens.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "Rester." t8n>>
Le temps figé s'écoule et les lieux restent intacts, inchangés, toujours plus monolithiques dans leur parfaite tenue. Le gris reste gris et le vide inlassablement vide.
<<linkreplace "Rester." t8n>>
Tout glisse sur vous comme dans votre tête, rien ne s'accroche dans les filaments tendus de vos sens que vous forcez en éveil.
<<linkreplace "Rester." t8n>>
Si vous le pouviez, vous vous rendriez compte que c’était l'aspérité qui tenait le monde en ordre, vous permettait de l'absorber. C’était l’asymétrie organique qui faisait circuler le sang dans vos veines, le portait jusqu’à votre cerveau. C’était le chaos qui vous vivifiait et tenait en ordre les choses.
<<linkreplace "Rester." t8n>>
Dans cet espace sans contraste et mouvement, vous vous sentiriez presque mourir.
<</linkreplace>><</linkreplace>><</linkreplace>><</linkreplace>>
[[Faire demi-tour.|Escalier 2 post annexe]]
<</timed>>
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<</timed>><<timed 0.5s t8n>>Vous continuez, vous demandant ce qui a bien pu vous passer par la tête, pour en venir à prendre les escaliers dans une tour dont vous ne discerniez pas le sommet.
<<timed 2s t8n>>Décontenancé, mis devant l’évidence d’un pan de réalité inachevé, vous reculez et prenez la porte en sens inverse et vous retrouvez de nouveau dans l’escalier. Rien ne vous vient, pas une sensation ou la moindre pensée, comme si rien n’avait changé entre maintenant et avant, comme si vous vous étiez absenté de vous-même.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous continuez, vous demandant ce qui a bien pu vous passer par la tête, pour en venir à prendre les escaliers dans une tour dont vous ne discerniez pas le sommet.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>><<audio "aElevator" volume 0.8 fadeoverto 30 0>>
Les angles droits successifs vous endorment, votre marche est de plus en plus automatique. Vos jambes vous font monter pendant que vous restez à peine éveillé, hébété par l’effort.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>><<audio "aBack" volume 0.4 fadeoverto 40 0>><<audio "sEpiphany" volume 0 fadeoverto 40 0.8>>
110
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Alors que vous étiez prisonnier du cycle entêtant des marches. Toutes vos terminaisons nerveuses s'alertent. Vous avez traité l’information avant même de la voir. Sur le mur de votre palier est écrit 110. Vous vous sentez comme soulagé.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous ne savez pas trop pourquoi mais vous êtes au “bon endroit”. Comme si le “bon endroit” était une sensation d’évidence qui parcourait le corps entier.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Cette fois, vous ne tentez pas de résister, la peur ne joue pas contre le magnétisme d'exercer ce chiffre sur vous. Vous sentez avoir déjà perdu. Pourquoi pas 109 ? Pourquoi pas 111 ? Des questions sans réponses vous trottent un instant dans la tête avant de s'évanouir, d’être chassées de votre esprit.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Est-ce bien vous qui les avez chassé ?
<<timed 2s t8n>>
[[Oui. Vous vous mentez et ouvrez la porte.|mensonge]]
[[Non...|vérité]]
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<</timed>><<timed 0.5s t8n>>Il pénètre dans une vaste salle où des racks de serveurs s'alignent sans discontinuité. Des tours parcourues de leds et de câbles, comme grouillant d’humus numérique.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Il avance, d’un pas rapide, confiant comme celui qui sait où il va, qui sait ce qu’il doit faire, qui a une parfaite représentation du lieu. Comme gonflé de la puissance que lui donnent les phrases qui le décrivent avançant. Comme un sachant. Comme un acteur parfaitement au fait de la prise narrative dans laquelle il est convoqué. Comme lui-même, plus autre chose. Comme un objet de la chose du scénaristique, il va droit au but.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
La salle, encore, semble s’étendre dans des dimensions ubuesques. Les racks se succèdent, sans qu’il ne réduise l’allure. Il faut attendre plusieurs minutes de marche avant de le voir s’arrêter d’un coup de frein net devant une sorte de hub de connectique en tout genre.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Il prend à peine le temps de regarder l’objet pourtant complexe, et saisit le câble à la base de son crâne, le tire et vient enfoncer l'extrémité dans un des ports à gauche de la surface.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>><<audio "sEpiphany" volume 0.8 fadeoverto 40 0.6>>
De là, rien ne se produit, en apparence, rien ne transparaît. Il pourrait bien lui apparaître mille choses, que nous n’en saurions rien. Opaque, comme la pensée de l’étranger. Il est planté là, debout, relié à quelque périphérique inconnu, inaccessible.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Pas d’intériorité fleurie, pas de flore idéelle, pas de lagon bleu, pas une péninsule de cristal violet , pas un océan d’obsidienne, pas une vallée lointaine de fleurs jaunes… Rien qu’un corps tendu et droit, indissociable de sa représentation pure. La statue d’un corps ou un corps ?
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Des heures passent. Il n’y a là rien que des serveurs, que des données gravées, cimentées dans les espaces matériels des disques durs. Des inflexions de matière, qui se fluidifient en signaux binaires et remontent la chaîne d’opérations complexes du système, dans un sens et dans l’autre. Il n’y a là devant vous que des objets inaccessibles qui bientôt se figeront et se videront de leur substance.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Il n'y a personne, pas d’acteur, pas de corps, pas même de statue. Rien que des tours opaques et des câbles indémêlables. Rien que des images nettes.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Il n’y rien à voir comme si cela avait finalement toujours été. Une illusion brisée dont les morceaux fuient. Des éclats passés, laissés sur le pas de la porte. Le Monde, dépeuplé.
<<timed 10s t8n>>
<<button "Crédits">><<goto "credits">><</button>>
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<</timed>><<timed 0.5s t8n>>Vous tentez un instant de marcher entre les serveurs qui vous encerclent quand s’ouvre devant vous un vide immense. Vous chutez.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Une jungle poisseuse et luxuriante. Le foisonnement visuel et sonore vous étouffe, autant que l’air visqueux. Comme le reste, les feuilles, les tiges qui les soutiennent, les troncs des arbres qui s'enfoncent dans le sol… tout semble suinter, comme si la jungle s'apprêtait à fondre, à se liquéfier dans un déluge cru et jade.
<div></div><<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous tentez de vous frayer un chemin, de traverser la toison verte qui vous sépare de l’horizon ; derrière, un lagon bleu, une péninsule de cristal violet , un océan d’obsidienne, une vallée lointaine de fleurs jaunes…
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>><<audio "sEpiphany" volume 0.8 fadeoverto 40 0.6>>
Vous finissez par déboucher quelque part, ailleurs.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
D’immenses cornes s'élèvent par-dessus les eaux. Derrière vous, une mangrove épaisse ; surplombée d'un immense feuillage, de fines racines rouges se mêlent et s'entremêlent dans un réseau complexe semblable à un cerveau.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous êtes pris dans le courant, entraîné au travers de la forêt suspendue au ras des eaux. Le fond est jonché de bois, de branches et de coquillages. Là où les racines se font plus denses, là où les poissons se faufilent, vous vous aidez de vos bras pour avancer. Vous vous appuyez sur les minces troncs qui plongent depuis le ciel et vous propulsez vers l'avant ; vous ne ressentez étonnamment plus le besoin de respirer, vous ne remontez pas et vous enfoncez encore dans ces bois exotiques.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
L'extérieur recommence peu à peu à respirer, les arbres s'écartent, tandis que les eaux étouffent ; la végétation se raréfie sur quelques mètres et reprend moins densément.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous marchez à présent sur un sol d'écorce et de bois nus ; arrivez sur le sec, une plage rouge de radicelles ; une île, sans terre, sans horizon, cachée par un rideau de troncs et de racines suspendus. Comme le cœur secret du monde.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous vous allongez dans les racines, subjugué par la découverte, encore persuadé de la solidité du monde, de votre importance et de votre matérialité. Encore possessif de vous même et de tous les vous.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous fermez les yeux, une dernière fois.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Trois petits crabes émergent, se ruent sur la carcasse turquoise d'un poisson que l'eau vient de rejeter ; trois petites tâches corail qui courent dans les cheveux des arbres. L'un d'eux finit par rattraper le poisson et l'emporte vers la forêt, les deux autres s'élancent à sa poursuite, jusqu'à l'orée des palétuviers où ils disparaissent.
<<timed 10s t8n>>
<<button "Crédits">><<goto "credits">><</button>>
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<</timed>><<timed 0.5s t8n>>Décontenancé, mis devant l’évidence d’un pan de réalité inachevé, vous reculez et prenez la porte en sens inverse et vous retrouvez de nouveau dans l’escalier. Rien ne vous vient, pas une sensation ou la moindre pensée, comme si rien n’avait changé entre maintenant et avant, comme si vous vous étiez absenté de vous-même.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous continuez, vous demandant ce qui a bien pu vous passer par la tête, pour en venir à prendre les escaliers dans une tour dont vous ne discerniez pas le sommet.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>><<audio "aElevator" volume 0.8 fadeoverto 30 0>>
Les angles droits successifs vous endorment, votre marche est de plus en plus automatique. Vos jambes vous font monter pendant que vous restez à peine éveillé, hébété par l’effort.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>><<audio "aBack" volume 0.4 fadeoverto 40 0>><<audio "sEpiphany" volume 0 fadeoverto 40 0.8>>
110
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Alors que vous étiez prisonnier du cycle entêtant des marches. Toutes vos terminaisons nerveuses s'alertent. Vous avez traité l’information avant même de la voir. Sur le mur de votre palier est écrit 110. Vous vous sentez comme soulagé.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous ne savez pas trop pourquoi mais vous êtes au “bon endroit”. Comme si le “bon endroit” était une sensation d’évidence qui parcourait le corps entier.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Cette fois, vous ne tentez pas de résister, la peur ne joue pas contre le magnétisme d'exercer ce chiffre sur vous. Vous sentez avoir déjà perdu. Pourquoi pas 109 ? Pourquoi pas 111 ? Des questions sans réponses vous trottent un instant dans la tête avant de s'évanouir, d’être chassées de votre esprit.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Est-ce bien vous qui les avez chassé ?
<<timed 2s t8n>>
[[Oui. Vous vous mentez et ouvrez la porte.|mensonge]]
[[Non...|vérité]]
<</timed>>
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<</timed>><<timed 0.5s t8n>><<audio "aElevator" volume 0.8 fadeoverto 30 0>>Les portes se referment et l'ascenseur de nouveau se met en branle. Vous vous concentrez sur les nombres qui défilent.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>><<audio "aBack" volume 0.4 fadeoverto 40 0>><<audio "sEpiphany" volume 0 fadeoverto 40 0.8>>
110
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous avez appuyé sur le bouton d’arrêt. Vous avez traité l’information avant même de la voir. l’affichage est figé sur 110. Vous vous sentez comme soulagé. Vous ne savez pas pourquoi mais vous êtes au “bon endroit”. Comme si le “bon endroit” était une sensation d’évidence qui parcourait le corps entier. Quelque chose en vous a agi.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Cette fois, vous ne tentez pas de résister, la peur ne joue pas contre le magnétisme d'exercer ce chiffre sur vous. Vous sentez avoir déjà perdu. Pourquoi pas 109 ? Pourquoi pas 111 ? Des questions sans réponses vous trottent un instant dans la tête avant de s'évanouir, d’être chassées de votre esprit.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Est-ce bien vous qui les avez chassé ?
<<timed 1s t8n>>
[[Oui. Vous vous mentez et vous engouffrez entre les portes qui s'ouvrent.|mensonge]]
[[Non…|vérité]]
<</timed>>
<</linkreplace>><</timed>>
<</linkreplace>><</timed>>
<</linkreplace>><</timed>>
<</linkreplace>><</timed>>
<</timed>><<timed 0.5s t8n>>Les portes se referment et l'ascenseur de nouveau se met en branle.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Quand les portes s'ouvrent, le même espace quadrillé de surfaces transparentes se tient devant vous. Le même aspect inachevé.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Vous attendez un peu mais vos yeux ne s'habituent pas, vos sens entiers ne s'accommodent pas. Du temps figé vous ne donnez aucun sens. Les lieux restent intacts, inchangés, toujours plus monolithiques dans leur parfaite tenue. Le gris reste gris et le vide inlassablement vide.
<<timed 2s t8n>>
<input id="numberbox-etage" name="numberbox-etage" type="number" inputmode="decimal" tabindex="0" class="macro-numberbox" step="1" autofocus="autofocus" onkeypress="return event.charCode >= 48 && event.charCode <= 57"><<button "Valider">>
<<set $etage to $("#numberbox-etage").val()>>
<<if $etage==0>>
<<set $etagepres to $etage>>
<<goto "Ascenseur = 0">>
<</if>>
<<if $etage >= 1 && $etage <= 109 && $etage!=$etagepres>>
<<set $etagepres to $etage>>
<<goto "Ascenseur < 110 - 3">>
<</if>>
<<if $etage>109>>
<<goto "Ascenseur > 110 - second">>
<</if>>
<<if $etage==$etagepres>>
<<timed 0.2s t8n>><<replace "#output">><<= either(["Vous êtes déjà au $etagepres, l'ascenseur ne bouge pas."])>><</replace>><</timed>>
<<else>>
<<timed 0.2s t8n>><<replace "#output">><<= either(["\"Error\", l'ascenseur ne bouge pas."])>><</replace>><</timed>>
<</if>>
<</button>><p id="output"></p>
<</timed>><</linkreplace>>
<</timed>><</linkreplace>>
<</timed>><</timed>><<timed 1s t8n>>Les portes se referment et l'ascenseur de nouveau se met en branle.
<<timed 1s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Quand les portes s'ouvrent, le même espace quadrillé de surfaces transparentes que les deux étages précédant.
<<timed 2s t8n>>
<input id="numberbox-etage" name="numberbox-etage" type="number" inputmode="decimal" tabindex="0" class="macro-numberbox" step="1" autofocus="autofocus" onkeypress="return event.charCode >= 48 && event.charCode <= 57"><<button "Valider">>
<<set $etage to $("#numberbox-etage").val()>>
<<if $etage==0>>
<<set $etagepres to $etage>>
<<goto "Ascenseur = 0">>
<</if>>
<<if $etage >= 1 && $etage <= 109 && $etage!=$etagepres>>
<<set $etagepres to $etage>>
<<goto "Ascenseur < 110 - 4">>
<</if>>
<<if $etage>109>>
<<goto "Ascenseur > 110 - second">>
<</if>>
<<if $etage==$etagepres>>
<<timed 0.2s t8n>><<replace "#output">><<= either(["Vous êtes déjà au $etagepres, l'ascenseur ne bouge pas."])>><</replace>><</timed>>
<<else>>
<<timed 0.2s t8n>><<replace "#output">><<= either(["\"Error\", l'ascenseur ne bouge pas."])>><</replace>><</timed>>
<</if>>
<</button>><p id="output"></p>
<</timed>><</linkreplace>>
<</timed>><</timed>><<timed 1s t8n>>Les portes se referment et l'ascenseur de nouveau se met en branle.
<<timed 1s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Quand les portes s'ouvrent, du gris, encore du gris. Toujours ce même espace neutralisé, ce volume plat de rien, sans aucun mouvement.
<<timed 2s t8n>>
<input id="numberbox-etage" name="numberbox-etage" type="number" inputmode="decimal" tabindex="0" class="macro-numberbox" step="1" autofocus="autofocus" onkeypress="return event.charCode >= 48 && event.charCode <= 57"><<button "Valider">>
<<set $etage to $("#numberbox-etage").val()>>
<<if $etage==0>>
<<set $etagepres to $etage>>
<<goto "Ascenseur = 0">>
<</if>>
<<if $etage >= 1 && $etage <= 109 && $etage!=$etagepres>>
<<set $etagepres to $etage>>
<<goto "Ascenseur < 110 - 4">>
<</if>>
<<if $etage>109>>
<<goto "Ascenseur > 110 - second">>
<</if>>
<<if $etage==$etagepres>>
<<timed 0.2s t8n>><<replace "#output">><<= either(["Vous êtes déjà au $etagepres, l'ascenseur ne bouge pas."])>><</replace>><</timed>>
<<else>>
<<timed 0.2s t8n>><<replace "#output">><<= either(["\"Error\", l'ascenseur ne bouge pas."])>><</replace>><</timed>>
<</if>>
<</button>><p id="output"></p>
<</timed>><</linkreplace>>
<</timed>><</timed>><div><h1>Brain activity</h1>
Pour profiter un maximun de l'expérience :
<ul><li>Passez en pleine écran (F11)</li><li>Équipez-vous d'un casque ou d’écouteurs</li></ul>
<<button "Commencer">><<goto "Extérieur">><</button>><<button "Crédits">><<goto "credits">><</button>></div>
<<cacheaudio "aOut" "https://antoninlaine.fr/ressources/brainActivity/aOutdoor.mp3">>
<<cacheaudio "aBack" "https://antoninlaine.fr/ressources/brainActivity/aBackground.mp3">>
<<cacheaudio "aInRain" "https://antoninlaine.fr/ressources/brainActivity/aIndoorRain.mp3">>
<<cacheaudio "aElevatorFall" "https://antoninlaine.fr/ressources/brainActivity/aElevatorFall.mp3">>
<<cacheaudio "sElevator" "https://antoninlaine.fr/ressources/brainActivity/sElevator.mp3">>
<<cacheaudio "aElevator" "https://antoninlaine.fr/ressources/brainActivity/aElevator.mp3">>
<<cacheaudio "sEpiphany" "https://antoninlaine.fr/ressources/brainActivity/sEpiphany.mp3">><div>Réaliser par <b>Antonin LAINÉ</b> avec Twine (html/css/js) / Audacity
Musiques (propriétés des ayants droit respectifs):
<ul><li>Delirious Eyes - Gewgawly I (NORCO Original Soundtrack)</li><li>Apocryphon of Kenner John - Gewgawly I (NORCO Original Soundtrack)</li><li>Refinery Eyes (Laura's Theme) - Gewgawly I (NORCO Original Soundtrack)</li></ul>
<<button "Retour au menu">><<goto "starting room">><</button>></div>
<<timed 0.5s t8n>>Vous vous engagez dans la cage d’escalier et commencez à monter.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Le temps passe et le même enchaînement se répète. Vous finissez par ne plus compter les étages, par ne plus porter attention aux numéros de paliers qui se succèdent.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
La taille des marches vous est de plus en plus désagréable, trop courte prise une par une, trop longue prise deux par deux.
<<timed 2s t8n>><<linkreplace "..." t8n>>
Ça n’en finit pas et vous commencez à être tenté d’essayer n’importe quelle porte, la première qui passe, de vous jeter sur la prochaine poignée qui croisera votre regard.
<<timed 2s t8n>>
[[Vous sortez ici.|Escalier annexe]]
[[Vous continuez à monter.|Escalier 2]]
<</timed>>
<</linkreplace>><</timed>>
<</linkreplace>><</timed>>
<</linkreplace>><</timed>>
<</timed>>
<<audio "aElevator" volume 0.4 fadeoverto 20 0.8>>